Édition du jeudi 22 décembre 2011
Rentrée scolaire 2012: le ministre réaffirme qu'il y «aura au total le même nombre de classes dans le primaire à la rentrée 2012»
Mardi 20 décembre, en réponse à une question de Stéphane Demilly, député de la Somme, le ministre de l’Education nationale a précisé que si «le président de la République a pris un engagement» le 21 juin dernier en Lozère, concernant les fermetures de classe, «il n’a jamais utilisé le mot de moratoire». Il a rappelé qu’il avait «indiqué qu’il n’y aurait pas plus de fermetures que d’ouvertures de classes à la rentrée 2012». «Ce que cela signifie, c’est qu’il y aura au total le même nombre de classes dans le primaire à la rentrée 2012», a ajouté Luc Chatel.
En outre, le ministre a insisté sur le fait que «les prévisions démographiques sont donc toujours difficiles à apprécier». Il a précisé que «nous attendions 10.000 élèves de plus dans le primaire à la dernière rentrée scolaire. Finalement, il y a eu 10.000 élèves de moins».
Puis il a réaffirmé «la priorité qui est celle du Gouvernement depuis le début du quinquennat, en faveur de l’école primaire», en rappelant que la réforme de l’école primaire avait pour finalité de renforcer l’apprentissage des fondamentaux. «Il faut qu’un élève qui quitte le CM2 sache lire, écrire et compter», a-t-il ajouté en précisant que c’était «tout l’esprit des nouveaux programmes, qui commencent à donner des résultats». Sur ce point il a cité les résultats de l’enquête CEDRE: «Actuellement, 13% des élèves ont des difficultés de lecture en entrant en sixième ; ils étaient 15% il y a cinq ans».
Pour accéder à la question au gouvernement, utiliser le lien ci-dessous.
En outre, le ministre a insisté sur le fait que «les prévisions démographiques sont donc toujours difficiles à apprécier». Il a précisé que «nous attendions 10.000 élèves de plus dans le primaire à la dernière rentrée scolaire. Finalement, il y a eu 10.000 élèves de moins».
Puis il a réaffirmé «la priorité qui est celle du Gouvernement depuis le début du quinquennat, en faveur de l’école primaire», en rappelant que la réforme de l’école primaire avait pour finalité de renforcer l’apprentissage des fondamentaux. «Il faut qu’un élève qui quitte le CM2 sache lire, écrire et compter», a-t-il ajouté en précisant que c’était «tout l’esprit des nouveaux programmes, qui commencent à donner des résultats». Sur ce point il a cité les résultats de l’enquête CEDRE: «Actuellement, 13% des élèves ont des difficultés de lecture en entrant en sixième ; ils étaient 15% il y a cinq ans».
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