Édition du jeudi 5 septembre 2013
Accessibilité : les bons exemples
La Délégation interministérielle à l’accessibilité vient de publier les résultats d’une enquête menée auprès de plusieurs villes afin de savoir comment ces dernières s’étaient organisées et quels chantiers elles avaient menés pour relever les défis de l’accessibilité.
A partir d’un questionnaire envoyé à un panel de villes, moyennes et grandes reconnues pour leur engagement sur le terrain de l’accessibilité, l’étude tente d’identifier les pratiques en interne (quelle gouvernance politique, quelle organisation des services, etc.), les différents types d’actions engagées (voirie, aménagement de l’espace public, transports, etc.) et les principales difficultés rencontrées. « La loi de 2005 sur le handicap et ses textes d’application ont été un des leviers de l’évolution de la cité. Ce dispositif a conduit au déploiement d’une meilleure accessibilité généralisée et d’une qualité d’usage toujours plus grande », souligne l’étude.
Les réponses des villes interrogées révèlent aussi quelques constantes : ainsi, l’impulsion donnée par les élus est essentielle pour une prise en compte de la problématique de l’accessibilité par tous les services et la nomination de chargés de mission accessibilité ou de référents handicap aide au développement d’une culture de l’accessibilité.
Néanmoins, les difficultés financières sont réelles pour les communes. Les villes estiment, dans leur ensemble, que les objectifs fixés par la loi de 2005 en termes d’accessibilité généralisée seront difficiles à atteindre en 2015. Sans renoncer à cet objectif, les villes souhaitent planifier leur action au-delà de 2015. Dans son rapport « Réussir 2015 », publié le 1er mars 2013, la sénatrice Claire-Lise Campion proposait déjà d’accorder un délai supplémentaire pour la réalisation de travaux dans les établissements recevant du public (lire Maire info du 4 mars).
Télécharger l’étude de la délégation ministérielle à l’accessibilité.
A partir d’un questionnaire envoyé à un panel de villes, moyennes et grandes reconnues pour leur engagement sur le terrain de l’accessibilité, l’étude tente d’identifier les pratiques en interne (quelle gouvernance politique, quelle organisation des services, etc.), les différents types d’actions engagées (voirie, aménagement de l’espace public, transports, etc.) et les principales difficultés rencontrées. « La loi de 2005 sur le handicap et ses textes d’application ont été un des leviers de l’évolution de la cité. Ce dispositif a conduit au déploiement d’une meilleure accessibilité généralisée et d’une qualité d’usage toujours plus grande », souligne l’étude.
Les réponses des villes interrogées révèlent aussi quelques constantes : ainsi, l’impulsion donnée par les élus est essentielle pour une prise en compte de la problématique de l’accessibilité par tous les services et la nomination de chargés de mission accessibilité ou de référents handicap aide au développement d’une culture de l’accessibilité.
Néanmoins, les difficultés financières sont réelles pour les communes. Les villes estiment, dans leur ensemble, que les objectifs fixés par la loi de 2005 en termes d’accessibilité généralisée seront difficiles à atteindre en 2015. Sans renoncer à cet objectif, les villes souhaitent planifier leur action au-delà de 2015. Dans son rapport « Réussir 2015 », publié le 1er mars 2013, la sénatrice Claire-Lise Campion proposait déjà d’accorder un délai supplémentaire pour la réalisation de travaux dans les établissements recevant du public (lire Maire info du 4 mars).
Télécharger l’étude de la délégation ministérielle à l’accessibilité.
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