Édition du lundi 13 novembre 2017
Prélèvement à la source : Gérald Darmanin confirme l'entrée en vigueur en 2019
Le ministre de l’Action et des Comptes publics a confirmé ce matin que le prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu entrerait en vigueur le 1er janvier 2019, avec quelques modifications destinées à « simplifier » les règles de gestion pour les collecteurs, au moyen également d’un « accompagnement renforcé ».
« Puisque les inquiétudes suscitées par le prélèvement à la source n’étaient pas de principe mais pratiques », le gouvernement avait décidé avant l’été le report d’un an de son entrée en vigueur, le temps de tester le dispositif et de l’améliorer. « Ce délai a permis d’auditer le dispositif, de travailler avec toutes les parties prenantes pour évaluer ses effets réels et de l’améliorer avant de généraliser de manière sécurisée les nouvelles règles », explique le ministre dans un communiqué. « Nous avons tiré les enseignements des difficultés constatées lors des expérimentations menées cet été », a-t-il ajouté sur Twitter.
Il a, par ailleurs, communiqué le nouveau calendrier du prélèvement. Ainsi, au printemps 2018, les contribuables (salariés ou retraités) disposeront de leur taux de prélèvement, à l’automne, l’administration fiscale enverra ce taux à l’employeur et, en janvier 2019, le prélèvement à la source entrera en application avec la déduction automatique du montant de l’impôt et indiquée sur la fiche de paie.
La réforme et ses nouvelles modalités seront intégrées au projet de loi de finances rectificative (PLFR), qui sera présenté, mercredi, en Conseil des ministres et débattu fin novembre au Parlement.
« Le prélèvement à la source sera un progrès pour les Français : il rendra l’impôt plus lisible et lèvera les difficultés financières que le décalage d’un an de la perception de l’impôt peut créer », a rappelé sur Twitter le ministre ce matin.
« Puisque les inquiétudes suscitées par le prélèvement à la source n’étaient pas de principe mais pratiques », le gouvernement avait décidé avant l’été le report d’un an de son entrée en vigueur, le temps de tester le dispositif et de l’améliorer. « Ce délai a permis d’auditer le dispositif, de travailler avec toutes les parties prenantes pour évaluer ses effets réels et de l’améliorer avant de généraliser de manière sécurisée les nouvelles règles », explique le ministre dans un communiqué. « Nous avons tiré les enseignements des difficultés constatées lors des expérimentations menées cet été », a-t-il ajouté sur Twitter.
Il a, par ailleurs, communiqué le nouveau calendrier du prélèvement. Ainsi, au printemps 2018, les contribuables (salariés ou retraités) disposeront de leur taux de prélèvement, à l’automne, l’administration fiscale enverra ce taux à l’employeur et, en janvier 2019, le prélèvement à la source entrera en application avec la déduction automatique du montant de l’impôt et indiquée sur la fiche de paie.
La réforme et ses nouvelles modalités seront intégrées au projet de loi de finances rectificative (PLFR), qui sera présenté, mercredi, en Conseil des ministres et débattu fin novembre au Parlement.
« Le prélèvement à la source sera un progrès pour les Français : il rendra l’impôt plus lisible et lèvera les difficultés financières que le décalage d’un an de la perception de l’impôt peut créer », a rappelé sur Twitter le ministre ce matin.
A.W.
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