Édition du mardi 3 janvier 2017
Près de 660 000 inscriptions en ligne en 2016 sur les listes électorales
Près de 660 000 personnes se sont inscrites en ligne sur les listes électorales en 2016 en France, soit une augmentation de 180 % par rapport à l’année 2011, a indiqué hier la Direction de l’information légale et administrative (Dila).
Les Français de plus de 18 ans pouvaient s’inscrire en ligne jusqu’au 31 décembre. « Ce que 659 011 d’entre eux ont fait dans les temps », le site service-public.fr connaissant fin 2016 « un pic de fréquentation inédit pour cette démarche », indique la Dila dans un communiqué.
Fin décembre, 5 772 communes représentant plus de 36 millions de personnes, soit 54 % de la population française, étaient raccordées au service « Demande d’inscription en ligne sur les listes électorales » (ILE), précise la direction de l’information légale, placée sous l’autorité du Secrétariat général du gouvernement.
« Les pics de connexion se sont concentrés à plus de 50 % sur le dernier mois de l’année, et en particulier le 29 décembre avec 37 136 demandes, le 30 avec 45 124 demandes, le 31 décembre avec 49 576 demandes », souligne la Dila. En 2011, l’année qui a précédé le dernier scrutin présidentiel en France, 235 000 demandes d’inscription en ligne avait été enregistrées.
Selon les chiffres de l’Insee, au 1er mars 2016, 44 834 000 personnes étaient inscrites sur les listes électorales, soit 1 % de plus qu’en 2012.
Le gouvernement n'a en revanche pas cédé aux demandes plusieurs personnalités, dont le candidat Jean-Luc Mélenchon, qui réclamaient que le délai pour s'inscrire sur les listes électorales soit allongé de 15 jours. Plusieurs candidats ont rappelé que 6 à 9 millions de citoyens ne sont pas ou sont mal inscrits sur les listes électorales, et ont regretté que les dispositions adoptées récemment par le Parlement et permettant une inscription jusqu'à un moins avant l'élection ne soient pas applicables à la prochaine élection présidentielle.
En septembre, l'AMF et Cap'com avaient lancé une campagne pour lutter contre la « mal-inscription » sur les listes électorales (lire Maire info du 19 septembre 2016).
(Avec AFP)
Les Français de plus de 18 ans pouvaient s’inscrire en ligne jusqu’au 31 décembre. « Ce que 659 011 d’entre eux ont fait dans les temps », le site service-public.fr connaissant fin 2016 « un pic de fréquentation inédit pour cette démarche », indique la Dila dans un communiqué.
Fin décembre, 5 772 communes représentant plus de 36 millions de personnes, soit 54 % de la population française, étaient raccordées au service « Demande d’inscription en ligne sur les listes électorales » (ILE), précise la direction de l’information légale, placée sous l’autorité du Secrétariat général du gouvernement.
« Les pics de connexion se sont concentrés à plus de 50 % sur le dernier mois de l’année, et en particulier le 29 décembre avec 37 136 demandes, le 30 avec 45 124 demandes, le 31 décembre avec 49 576 demandes », souligne la Dila. En 2011, l’année qui a précédé le dernier scrutin présidentiel en France, 235 000 demandes d’inscription en ligne avait été enregistrées.
Selon les chiffres de l’Insee, au 1er mars 2016, 44 834 000 personnes étaient inscrites sur les listes électorales, soit 1 % de plus qu’en 2012.
Le gouvernement n'a en revanche pas cédé aux demandes plusieurs personnalités, dont le candidat Jean-Luc Mélenchon, qui réclamaient que le délai pour s'inscrire sur les listes électorales soit allongé de 15 jours. Plusieurs candidats ont rappelé que 6 à 9 millions de citoyens ne sont pas ou sont mal inscrits sur les listes électorales, et ont regretté que les dispositions adoptées récemment par le Parlement et permettant une inscription jusqu'à un moins avant l'élection ne soient pas applicables à la prochaine élection présidentielle.
En septembre, l'AMF et Cap'com avaient lancé une campagne pour lutter contre la « mal-inscription » sur les listes électorales (lire Maire info du 19 septembre 2016).
(Avec AFP)
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