Édition du mardi 25 juillet 2017
Tourisme: le gouvernement présentera sa stratégie demain
Le gouvernement a annoncé hier la tenue d’un Conseil interministériel du Tourisme demain mercredi, en présence de professionnels du secteur, à l’issue duquel il présentera sa feuille de route pour atteindre les 100 millions de touristes internationaux en 2020.
Le Premier ministre Édouard Philippe fera une déclaration demain soir, au terme de cette réunion, qui vise à conforter la reprise du tourisme après une année 2016 calamiteuse en raison des attentats de novembre 2015 à Paris et du 14 juillet à Nice.
Le Conseil interministériel portera sur des mesures dans six domaines prioritaires : la qualité de l’accueil et la sécurisation des sites, la structuration de l’offre touristique, le soutien étatique en matière d’investissements, la formation et l’emploi, le soutien à la numérisation, et l’accès aux vacances pour le plus grand nombre, selon un communiqué de l’Hôtel de Matignon diffusé hier.
Le secteur touristique représente près de 8 % du PIB en France et deux millions d’emplois directs et indirects, selon des statistiques officielles. La France, première destination touristique mondiale, a subi un recul de fréquentation l’an dernier, accueillant tout de même 83 millions de touristes étrangers.
Depuis le dernier trimestre 2016, une nette reprise est cependant constatée.
Le ministre des Affaires étrangères, en charge du tourisme, Jean-Yves Le Drian, a annoncé le 10 juillet qu’il tablait sur une croissance de la fréquentation touristique de la France de 5 à 6% en 2017, soit 88 à 89 millions de touristes. Il a également repris à son compte l’objectif de l’ancien gouvernement d’atteindre 100 millions de visiteurs internationaux en 2020.
Des experts du tourisme pointent régulièrement les insuffisances de la France, qui perd des parts de marché au niveau international. La piètre qualité de l’accueil des étrangers, des problèmes d’insécurité et des coûts élevés, sont souvent cités.
La semaine dernière, 14 organisations professionnelles et associations du tourisme français, réunies au sein d’une confédération depuis juin, avaient demandé l’organisation d’un « partenariat public-privé avec l’État » pour soutenir le secteur.
Ils réclamaient notamment des moyens supplémentaires pour vendre la destination France à l’étranger, des améliorations en matière de dessertes ou de sécurité, des ajustements en matière de fiscalité pour promouvoir l’investissement, des modifications du calendrier scolaire pour une saison de ski plus longue et des simplifications administratives.
Le Premier ministre Édouard Philippe fera une déclaration demain soir, au terme de cette réunion, qui vise à conforter la reprise du tourisme après une année 2016 calamiteuse en raison des attentats de novembre 2015 à Paris et du 14 juillet à Nice.
Le Conseil interministériel portera sur des mesures dans six domaines prioritaires : la qualité de l’accueil et la sécurisation des sites, la structuration de l’offre touristique, le soutien étatique en matière d’investissements, la formation et l’emploi, le soutien à la numérisation, et l’accès aux vacances pour le plus grand nombre, selon un communiqué de l’Hôtel de Matignon diffusé hier.
Le secteur touristique représente près de 8 % du PIB en France et deux millions d’emplois directs et indirects, selon des statistiques officielles. La France, première destination touristique mondiale, a subi un recul de fréquentation l’an dernier, accueillant tout de même 83 millions de touristes étrangers.
Depuis le dernier trimestre 2016, une nette reprise est cependant constatée.
Le ministre des Affaires étrangères, en charge du tourisme, Jean-Yves Le Drian, a annoncé le 10 juillet qu’il tablait sur une croissance de la fréquentation touristique de la France de 5 à 6% en 2017, soit 88 à 89 millions de touristes. Il a également repris à son compte l’objectif de l’ancien gouvernement d’atteindre 100 millions de visiteurs internationaux en 2020.
Des experts du tourisme pointent régulièrement les insuffisances de la France, qui perd des parts de marché au niveau international. La piètre qualité de l’accueil des étrangers, des problèmes d’insécurité et des coûts élevés, sont souvent cités.
La semaine dernière, 14 organisations professionnelles et associations du tourisme français, réunies au sein d’une confédération depuis juin, avaient demandé l’organisation d’un « partenariat public-privé avec l’État » pour soutenir le secteur.
Ils réclamaient notamment des moyens supplémentaires pour vendre la destination France à l’étranger, des améliorations en matière de dessertes ou de sécurité, des ajustements en matière de fiscalité pour promouvoir l’investissement, des modifications du calendrier scolaire pour une saison de ski plus longue et des simplifications administratives.
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