Édition du mercredi 21 février 2018
Sécurité routière: le nombre de morts sur les routes en baisse de 7,8% en janvier
Le nombre de morts sur les routes en métropole a baissé de 7,8 % en janvier, avec 235 tués, soit 20 de moins qu’en janvier 2017, a annoncé hier la Sécurité routière.
Après trois ans consécutifs de hausse, la courbe s’est inversée fin 2017, avec une baisse de 1,2 % sur la totalité de l’année (soit 45 morts de moins qu’en 2016), et ce alors que le gouvernement a prévu en juillet d’abaisser à 80 km/h la vitesse maximale sur 400 000 km de routes secondaires, contre 90 km/h actuellement.
Le nombre de blessés est également en baisse, indique l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière, avec 5 418 personnes blessées, soit 318 de moins (-5,9 %) qu’en janvier 2017.
Dans les Outre-mer, la mortalité routière est également en baisse, avec 16 tués, soit sept de moins qu’au même mois de l’année dernière.
Après avoir atteint un plus bas historique en 2013 (3 427 tués), la France a ensuite connu trois années noires, une situation inédite depuis 1972. Le bilan annuel de la Sécurité routière, qui incluait pour la première fois fin 2017 l’Outre-mer, avait marqué la fin de cette série funeste.
En 2017, 3 693 personnes ont été tuées en France. Selon la Sécurité routière, en métropole notamment, « l’analyse des accidents mortels en 2017 montre que la vitesse excessive ou inadaptée reste la cause principale, suivie de la surconsommation d’alcool, qui connaît une légère hausse ».
L’annonce en janvier de l’abaissement futur de 90 km/h à 80 km/h de la vitesse maximale sur les routes secondaires à double sens sans séparateur central (terre-plein, glissière) a suscité la colère d’associations de motards et d’automobilistes, et plusieurs manifestations à travers la France.
Cette mesure permettrait de sauver de 350 à 400 vies par an, selon le gouvernement, qui a instauré une « clause de rendez-vous » au 1er juillet 2020. « Si les résultats ne sont pas à la hauteur de nos espérances, le gouvernement prendra ses responsabilités », avait déclaré le Premier ministre Édouard Philippe. (AFP)
Après trois ans consécutifs de hausse, la courbe s’est inversée fin 2017, avec une baisse de 1,2 % sur la totalité de l’année (soit 45 morts de moins qu’en 2016), et ce alors que le gouvernement a prévu en juillet d’abaisser à 80 km/h la vitesse maximale sur 400 000 km de routes secondaires, contre 90 km/h actuellement.
Le nombre de blessés est également en baisse, indique l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière, avec 5 418 personnes blessées, soit 318 de moins (-5,9 %) qu’en janvier 2017.
Dans les Outre-mer, la mortalité routière est également en baisse, avec 16 tués, soit sept de moins qu’au même mois de l’année dernière.
Après avoir atteint un plus bas historique en 2013 (3 427 tués), la France a ensuite connu trois années noires, une situation inédite depuis 1972. Le bilan annuel de la Sécurité routière, qui incluait pour la première fois fin 2017 l’Outre-mer, avait marqué la fin de cette série funeste.
En 2017, 3 693 personnes ont été tuées en France. Selon la Sécurité routière, en métropole notamment, « l’analyse des accidents mortels en 2017 montre que la vitesse excessive ou inadaptée reste la cause principale, suivie de la surconsommation d’alcool, qui connaît une légère hausse ».
L’annonce en janvier de l’abaissement futur de 90 km/h à 80 km/h de la vitesse maximale sur les routes secondaires à double sens sans séparateur central (terre-plein, glissière) a suscité la colère d’associations de motards et d’automobilistes, et plusieurs manifestations à travers la France.
Cette mesure permettrait de sauver de 350 à 400 vies par an, selon le gouvernement, qui a instauré une « clause de rendez-vous » au 1er juillet 2020. « Si les résultats ne sont pas à la hauteur de nos espérances, le gouvernement prendra ses responsabilités », avait déclaré le Premier ministre Édouard Philippe. (AFP)
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