Édition du mercredi 21 février 2018
Plus de 8 000 associations bénéficiaires des crédits de la politique de la ville en 2017
Le Commissariat général à l'égalité des territoires (CGET) vient de dresser un bilan des subventions attribuées au titre de la politique de la ville en 2017. Au total, elles représentent 243 millions d'euros.
Les trois quarts de ces subventions (180 millions) ont appuyé des projets locaux. La grande majorité entrent dans l'axe « cohésion sociale » des contrats de ville. L'axe « emploi et développement économique » arrive en deuxième, avec 15 % des projets. Plus loin, « l'ingénierie, les ressources et l'évaluation » (8%), devant le « cadre de vie et le renouvellement urbain », avec à peine 3 %.
Le quart restant (63 millions d'euros) a permis de financer le programme de réussite éducative dans les quartiers (92 000 enfants concernés).
Les chiffres confirment que ce sont bien les associations qui sont les premières bénéficiaires et donc à la manœuvre sur le terrain. Au total, ce sont plus de 8 000 associations qui ont été subventionnées. Elles récupèrent 129,5 millions d'euros, soit près de la moitié des subventions politique de la ville. Viennent ensuite près de 1 200 collectivités territoriales et leurs intercommunalités, avec 70,7 millions d'euros. Enfin, un peu plus de 1000 établissements d'enseignements et groupements d'intérêt public pour 42,8 millions.
Sans grande surprise, la répartition régionale des crédits colle à la densité des quartiers politique de la ville suivant les régions. L'Ile-de-France arrive largement en tête, suivie des Hauts-de-France, puis des régions Grand Est, Provence-Alpes-Côte-d'Azur, Occitanie et Auvergne-Rhône-Alpes. La Nouvelle-Aquitaine fait l'intermédiaire avec un autre groupe autour des régions Bourgogne Franche-Comté, Centre-Val-de-Loire, Pays-de-la-Loire, Normandie et Bretagne. Et enfin la Corse et l'outre-mer.
Le CGET se décerne un bon point, grâce au versement, « avant la fin du 1er semestre », de 70 % des subventions. Donnant ainsi aux acteurs de terrain les crédits pour « mener leurs actions en temps et en heure » et « éviter des problèmes de trésorerie ».
La campagne 2018 vient, elle, d'être ouverte. Elle se clôturera le 16 mars. Elle s'adresse aux associations « têtes de réseau », pour des actions « contribuant à la vie associative de proximité, au lien social et au renforcement du rôle joué par les habitants ».
Les trois quarts de ces subventions (180 millions) ont appuyé des projets locaux. La grande majorité entrent dans l'axe « cohésion sociale » des contrats de ville. L'axe « emploi et développement économique » arrive en deuxième, avec 15 % des projets. Plus loin, « l'ingénierie, les ressources et l'évaluation » (8%), devant le « cadre de vie et le renouvellement urbain », avec à peine 3 %.
Le quart restant (63 millions d'euros) a permis de financer le programme de réussite éducative dans les quartiers (92 000 enfants concernés).
Les chiffres confirment que ce sont bien les associations qui sont les premières bénéficiaires et donc à la manœuvre sur le terrain. Au total, ce sont plus de 8 000 associations qui ont été subventionnées. Elles récupèrent 129,5 millions d'euros, soit près de la moitié des subventions politique de la ville. Viennent ensuite près de 1 200 collectivités territoriales et leurs intercommunalités, avec 70,7 millions d'euros. Enfin, un peu plus de 1000 établissements d'enseignements et groupements d'intérêt public pour 42,8 millions.
Sans grande surprise, la répartition régionale des crédits colle à la densité des quartiers politique de la ville suivant les régions. L'Ile-de-France arrive largement en tête, suivie des Hauts-de-France, puis des régions Grand Est, Provence-Alpes-Côte-d'Azur, Occitanie et Auvergne-Rhône-Alpes. La Nouvelle-Aquitaine fait l'intermédiaire avec un autre groupe autour des régions Bourgogne Franche-Comté, Centre-Val-de-Loire, Pays-de-la-Loire, Normandie et Bretagne. Et enfin la Corse et l'outre-mer.
Le CGET se décerne un bon point, grâce au versement, « avant la fin du 1er semestre », de 70 % des subventions. Donnant ainsi aux acteurs de terrain les crédits pour « mener leurs actions en temps et en heure » et « éviter des problèmes de trésorerie ».
La campagne 2018 vient, elle, d'être ouverte. Elle se clôturera le 16 mars. Elle s'adresse aux associations « têtes de réseau », pour des actions « contribuant à la vie associative de proximité, au lien social et au renforcement du rôle joué par les habitants ».
E.S.
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