Édition du vendredi 21 septembre 2012
Les maires envisagent un ralentissement de leurs investissements
Seulement 30% des maires prévoient en 2013 une augmentation des investissements de leur commune, révèle un sondage TNS Sofrès réalisé à la demande de l'AMGVF et de la Fédération nationale des travaux publics à l’occasion de la 12 e Conférence des villes (voir Maire info d’hier). Parmi les maires des villes de 10 000 habitants et plus, ils ne sont que 17% à envisager cette perspective. 54% envisagent d'ores et déjà de différer des projets à court ou long terme tandis que, par ailleurs, 74% déclarent qu'ils rencontreront des difficultés à maintenir le niveau de qualité des infrastructures existantes.
Selon les résultats de ce sondage, les maires estiment en grande majorité que la situation de leur commune est bonne (86 %). Mais ils témoignent aussi des difficultés qu’ils rencontrent dans le domaine des finances locales où les principaux problèmes rencontrés sont les contraintes budgétaires (58 %) et la multiplication des normes (53%).
Par ailleurs, 49 % des maires estiment que les difficultés d’autofinancement (49%) constituent le frein le plus important pour le financement des investissements, 17 % d’entre eux évoquant des difficultés d’accès au crédit bancaire. Enfin, en cas de nécessité, 63 % des maires feraient porter les coupes budgétaires sur les dépenses d’investissement contre 26 % sur les dépenses de fonctionnement de leur commune.
Télécharger l’enquête TNS Sofrès.
Selon les résultats de ce sondage, les maires estiment en grande majorité que la situation de leur commune est bonne (86 %). Mais ils témoignent aussi des difficultés qu’ils rencontrent dans le domaine des finances locales où les principaux problèmes rencontrés sont les contraintes budgétaires (58 %) et la multiplication des normes (53%).
Par ailleurs, 49 % des maires estiment que les difficultés d’autofinancement (49%) constituent le frein le plus important pour le financement des investissements, 17 % d’entre eux évoquant des difficultés d’accès au crédit bancaire. Enfin, en cas de nécessité, 63 % des maires feraient porter les coupes budgétaires sur les dépenses d’investissement contre 26 % sur les dépenses de fonctionnement de leur commune.
Télécharger l’enquête TNS Sofrès.
Suivez Maire info sur Twitter : @Maireinfo2
S'ABONNER GRATUITEMENT
NOUS ÉCRIRE
DANS L'ÉDITION DU JOUR
Aides sociales : les départements demandent la reconduction du fonds d'urgence
Pollution : la ministre de l'Ecologie enterre les Zapa
Le rapport Duquesne prône un doublement du plafond du Livret A et une baisse de sa rémunération
Le gouvernement débloque 50 millions d'euros pour l'hébergement d'urgence
Retrouver une édition
Accéder au site