Édition du mardi 17 février 2015
Le parc de logements en France connaît une croissance stable depuis trente ans
La composition du parc de logements en France métropolitaine n’évolue guère depuis trente ans : 83 % de résidences principales, 9 % de résidences secondaires ou occasionnelles et 8 % de logements vacants. De même, si les gouvernements successifs s’alarment de la chute de la construction de logements en France, en réalité, leur nombre global augmente au rythme régulier d’1 % par an. Ce sont les principaux enseignements d’une étude publiée ce mois-ci par l’Insee sur le logement en France au 1er janvier 2014.
À cette date, il y avait 33,9 millions de logements en France, dont 8,2 dans les communes rurales, 10,9 dans les agglomérations de moins de 100 000 habitants, 9,8 dans les agglomérations de plus de 100 000 habitants, et 4,9 dans l’agglomération parisienne.
16 % des résidences principales se situent dans l’agglomération parisienne et 22 % en zone rurale. Les résidences secondaires ou occasionnelles sont beaucoup moins présentes en agglomération parisienne (5 %) et bien plus en zone rurale (44 %).
Près de six ménages sur dix (57,7 %) sont propriétaires de leur résidence principale, une part croissante depuis les années 1980, même si elle s’est stabilisée ces dernières années. « Parmi les propriétaires, environ 30 % sont accédants, c’est-à-dire qu’ils n’ont pas fini de rembourser leur emprunt pour l’achat du logement », précise l’étude.
Dans les départements d’Outre-mer (hors Mayotte), la croissance du parc de logements est plus forte : 2 à 3 % par an sur la période de 1984 à 2014. La part des logements vacants y est également plus importante (11 %).
Consulter l’étude de l’Insee sur le parc de logements en France.
À cette date, il y avait 33,9 millions de logements en France, dont 8,2 dans les communes rurales, 10,9 dans les agglomérations de moins de 100 000 habitants, 9,8 dans les agglomérations de plus de 100 000 habitants, et 4,9 dans l’agglomération parisienne.
16 % des résidences principales se situent dans l’agglomération parisienne et 22 % en zone rurale. Les résidences secondaires ou occasionnelles sont beaucoup moins présentes en agglomération parisienne (5 %) et bien plus en zone rurale (44 %).
Près de six ménages sur dix (57,7 %) sont propriétaires de leur résidence principale, une part croissante depuis les années 1980, même si elle s’est stabilisée ces dernières années. « Parmi les propriétaires, environ 30 % sont accédants, c’est-à-dire qu’ils n’ont pas fini de rembourser leur emprunt pour l’achat du logement », précise l’étude.
Dans les départements d’Outre-mer (hors Mayotte), la croissance du parc de logements est plus forte : 2 à 3 % par an sur la période de 1984 à 2014. La part des logements vacants y est également plus importante (11 %).
Consulter l’étude de l’Insee sur le parc de logements en France.
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