Édition du mercredi 15 mars 2017
Angers, Nantes et Strasbourg sacrées villes les plus vertes de France
L’Union nationale des entreprises du paysage (Unep) et Hortis, organisation professionnelle des responsables d’espaces verts en ville, ont publié, hier, leur palmarès des villes les plus vertes de France. Comme en 2014, Angers a été consacrée ville la plus verte de France, suivie par Nantes et Strasbourg.
L’enquête a été menée auprès des 50 plus grandes villes de France, d’août à octobre 2016, en interrogeant les directions des espaces verts et les élus sur leur politique de végétalisation urbaine. Réalisé dans le cadre de l’Observatoire des villes vertes, le palmarès 2017 montre que « si la préservation et le développement du patrimoine végétal sont désormais au centre des préoccupations des villes et des citoyens, les budgets et les investissements ne sont toujours pas à la hauteur des attentes des Français et des enjeux environnementaux », estime la présidente de l’Unep, Catherine Muller.
Angers et Nantes se sont notamment distinguées par des « politiques volontaristes en matière d’investissement en faveur des espaces verts » et par leurs « actions innovantes en matière de préservation de la biodiversité », indiquent l’Unep et Hortis qui rappellent toutefois qu’Angers, « avec près de 100 m² d’espaces verts par habitant (loin devant la moyenne nationale de 48 m² avec 1 155 ha de surface moyenne), fait figure d’exception » puisque les espaces verts publics (hors forêts) représentent « plus de 14 % » de la surface de la ville.
Angers et Nantes y consacrent respectivement 67 et 69 euros par an et par habitant, un budget bien plus important que la moyenne nationale qui atteint 46,50 euros par an et par habitant. En moyenne, les communes allouent 1,3 % de leur budget total, contre 3,5 % pour Angers. Par ailleurs, à l’échelle nationale, ce sont 5 millions d’euros sont consacrés en moyenne chaque année à la création de nouveaux espaces verts.
L’Unep et Hortis constatent que la biodiversité devient un « patrimoine à préserver et à valoriser » puisque 12 des 50 plus grandes villes de France déclarent avoir réalisé récemment un inventaire total de la faune et de la flore sur le périmètre de leur commune. Et deux tiers des grandes villes déclarent avoir recours à l’éco-pastoralisme pour l’entretien de leurs espaces verts. Avec l’entrée en vigueur de l’interdiction des produits phytosanitaires, les villes ont ainsi anticipé et mis en place de nombreuses techniques alternatives.
Télécharger le palmarès 2017.
L’enquête a été menée auprès des 50 plus grandes villes de France, d’août à octobre 2016, en interrogeant les directions des espaces verts et les élus sur leur politique de végétalisation urbaine. Réalisé dans le cadre de l’Observatoire des villes vertes, le palmarès 2017 montre que « si la préservation et le développement du patrimoine végétal sont désormais au centre des préoccupations des villes et des citoyens, les budgets et les investissements ne sont toujours pas à la hauteur des attentes des Français et des enjeux environnementaux », estime la présidente de l’Unep, Catherine Muller.
Angers et Nantes se sont notamment distinguées par des « politiques volontaristes en matière d’investissement en faveur des espaces verts » et par leurs « actions innovantes en matière de préservation de la biodiversité », indiquent l’Unep et Hortis qui rappellent toutefois qu’Angers, « avec près de 100 m² d’espaces verts par habitant (loin devant la moyenne nationale de 48 m² avec 1 155 ha de surface moyenne), fait figure d’exception » puisque les espaces verts publics (hors forêts) représentent « plus de 14 % » de la surface de la ville.
Angers et Nantes y consacrent respectivement 67 et 69 euros par an et par habitant, un budget bien plus important que la moyenne nationale qui atteint 46,50 euros par an et par habitant. En moyenne, les communes allouent 1,3 % de leur budget total, contre 3,5 % pour Angers. Par ailleurs, à l’échelle nationale, ce sont 5 millions d’euros sont consacrés en moyenne chaque année à la création de nouveaux espaces verts.
L’Unep et Hortis constatent que la biodiversité devient un « patrimoine à préserver et à valoriser » puisque 12 des 50 plus grandes villes de France déclarent avoir réalisé récemment un inventaire total de la faune et de la flore sur le périmètre de leur commune. Et deux tiers des grandes villes déclarent avoir recours à l’éco-pastoralisme pour l’entretien de leurs espaces verts. Avec l’entrée en vigueur de l’interdiction des produits phytosanitaires, les villes ont ainsi anticipé et mis en place de nombreuses techniques alternatives.
Télécharger le palmarès 2017.
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