Édition du mardi 6 mars 2007
«Référentiel général d'interopérabilité» (RGI), l'Association des maires ruraux de France pose les conditions «préalables à la réussite»
Sinquiétant des conséquences de la mise en place du «référentiel général dinteropérabilité» (RGI), qui vise à permettre aux systèmes dinformation des administrations de communiquer entre eux, Gérard Pelletier, président de lAssociation des maires ruraux de France (AMRF), souligne dans un communiqué que plusieurs conditions sont «préalables à la réussite»:
- la «nécessaire participation de toutes les catégories dacteurs et la participation de leurs associations aux travaux préalables»;
- la «prise en compte de leurs faibles capacités dinvestissement dans ce domaine»;
- le «refus dun cadre technique rigide et fermé ignorant les choix plus anciens des collectivités de toutes tailles»;
- les «coûts engendrés devront être au moins partagés entre les acteurs au premier rang desquels lEtat qui ne peut se contenter de charger les collectivités».
LAMRF se met à la disposition des maires «des autres strates de collectivités » et de «tous ceux qui souhaiteront avancer dans cet état desprit.»
La Direction générale à la modernisation de lEtat (DGME) a mis en ligne en avril 2006 un appel à commentaires sur ce référentiel technique structuré autour de trois documents complémentaires qui couvrent le volet interopérabilité technique, le volet interopérabilité organisationnelle et le volet interopérabilité sémantique (voir lien ci-dessous).
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